Catherine
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Été 2017, un samedi matin, je prends rendez-vous à la clinique (où mes animaux sont extrêmemen bien soignés par Juiette Marel), car mon chien s'est blessé en sautant: une griffe est partiellement arrachée sur la patte avant; il saigne beaucoup et a du mal à poser la patte au sol.
Reçue à 12h par un vétérinaire que je ne connais pas, Raphaël Brasseur, très récemment arrivé danc la clinique. Je pose mon chien sur la table et lui explique le problème. Il regarde, de loin, la patte de mon chien sans la toucher et me dit, je cite:" Je ne peux rien faire sinon il va y avoir du sang partout". "Il faut laisser faire la nature";" il ne souffre pas sinon il ne pourrait pas poser la patte." Je règle la dite "consultation" et repars avec un très gros doute, mais je fais confiance à la "science".
Le lundi matin je reprends rendez-vous car mon chien souffre; sa patte a beaucoup enflé. Je suis reçue par un autre vétérinaire: mon chien est donc opéré le lendemain matin et la griffe est enlevée.
Lorsque je reviens chercher mon chien, je suis reçue par le gérant, Pascal Perronin qui s'adresse à moi de façon arrogante, déjà prêt à en découdre avec moi au cas où je tenterais de me plaindre. Je ne suis pas dans cet état d'esprit mais soulagée de retrouver mon chien qui ne souffre plus.
Des excuses auraient été bienvenues mais elles auraient souligné d'autant plus l'incompétence crasse et la désinvolture de son collègue employé, Raphaël Brasseur.
Vendredi 10 novembre 2017, 11h30, je prends rendez-vous en urgence car mon chien souffre et a des difficultés à marcher.
L'assistant vétérinaire Cyril me fait remarquer sans ménagement que ce n'est pas une heure pour prendre rendez-vous (nous sommes la veille d'un week-end et
la clinique sera fermée le samedi 11 novembre); je précise, étonnée, que c'est une urgence. Rendez-vous pris pour 15h.
Je suis reçue par Pascal Perronin qui semble très pressé. Mon chien posé sur la table, je lui explique qu'il ne va pas bien. Il me répond d'emblée : "qu'est ce qu'on fait? "
Il se trompe dans les dates du suivi qu'il énonce et ne semble pas vouloir ausculter mon chien.
Je comprends qu'il a lu très rapidement le dossier de mon chien et qu'il me propose de l'euthanasier....(Mon chien est suivi depuis environ un mois par Juliette Marel pour un lymphome et réagit très bien au traitement. Ses analyses sont excellentes. Il n'y a aucune raison de l'euthanasier.)
Je lui réponds qu'il faut ausculter mon chien car son ventre est dur. Il l'ausculte et après une radiographie, revient me dire que mon chien a une occlusion intestinale et qu'il faut une intervention. Son ton est très suffisant.
Lorsque je reviens chercher mon chien vers 18h30, la clinique est déjà à moitié fermée, lumières presque éteintes. J'attends 5 mns et Pascal Perronin arrive vers moi et me dit que mon chien est mort; qu'il ne comprend pas pourquoi; qu'ils l'ont mis sous les lampes chauffantes après l'intervention,..
Je demande à voir mon chien pour lui dire au revoir. Pascal Perronin paraît agacé mais va chercher mon chien; il le porte par le harnais et le "balance" sur la table comme un paquet puis quitte la salle. Mon chien est froid et tout mouillé. Pascal Perronin revient très rapidement. Son ton est très désinvolte: il se permet des blagues sur l'etat de mon chien (occlusion intestinale). "On a bien rigolé avec l'équipe! " , etc.. Je suis choquée d'avoir perdu mon chien dans ces conditions donc je ne réagis pas à sa stupidité et à sa brutalité. Pendant qu'il prépare la facture, j'essaie de comprendre pourquoi mon chien est mort et j'échange avec lui. Je lui dis que mon chien avait depuis peu un léger problème cardiaque. Il ne répond pas et s'absente deux minutes dans la salle où j'ai été reçue.Quand il revient, son arrogance a laissé place à un ton doucereux et ce, jusqu'à la finalisation du règlement de la facture
Je comprends qu'il est allé lire discrètement le dossier de mon chien pour vérifier mes dires et que la prise en charge de mon chien n'a pas été faite correctement, anesthésie et/ou post anesthésie, ce qui lui a coûté la vie.